Les deux groupements coopératifs, l’Union coopérative prônée par Charles Gide et la Bourse des coopératives regroupant les coopérateurs socialistes révolutionnaires, se réunifient en 1912 sous l’impulsion de Jean Jaurès et donnent naissance à la Fédération nationale des coopératives de consommateurs (FNCC). Charles Gide obtiendra l’indépendance de la coopération vis-à-vis des partis et les socialistes renonceront à l’obligation pour les coopératives de financer le Parti socialiste.
Aujourd'hui la FNCC existe toujours, elle anime notamment le réseau des coopératives, agit dans le domaine social et favoriser le dialogue, défend et participe au développement des principes coopératifs et des structures de loisirs…
Sous-greffier adjoint au Secrétaire général du gouvernement, puis intérimaire du Conseil supérieur de la participation, il est entré à la Confédération générale des Scop en 1955.
Il y est nommé secrétaire général adjoint en 1966 aux côtés d’Antoine Antoni auquel il succède en 1980.
En 1969 les deux hommes obtiennent l’extension aux Scop d’une ordonnance du général de Gaulle de 1967 leur permettant de bénéficier du régime de la participation des salariés aux bénéfices du travail et de la provision pour investissements.
Ils sont aussi les artisans de la loi de juillet 1978 qui modernise le statut des Scop et en fait…
La Fédération nationale des organismes de construction (FNOA) devient en 1952 la Fédération nationale des cités coopératives ouvrières (FNCCO). Elle se charge des aspects « humains » de l'entreprise Castor et notamment de l'organisation de la vie dans les cités ou les groupements d'achat. Sa fonction sociale est importante. Elle créée en 1953 la Mutuelle nationale des cités coopératives ouvrières (MNCCO), qui deviendra la Société mutualiste du logement familial en 1958.