La société anonyme coopérative « Buxerolles-Les Amandiers », à capital et personnel variables, fut constituée le 31 octobre 1961. Ses statuts, établis sous seing privé, furent déposés chez maître Chomel, notaire à Poitiers ; elles figurent au rang de ses minutes, suivant acte reçu par lui le 13 novembre 1961.
La société avait pour but la « construction-cession » de logements pavillonnaires dans une partie encore peu habitée de Buxerolles. Son but une fois atteint, la société fut dissoute en 1975.
Les 95 pavillons (74 pavillons de type F 4, 17 pavillons de type F 5, 4 pavillons de type F 6)…
Le fonds conservé ne permet malheureusement pas de définir précisément la date de création de cette coopérative : elle ne figure pas sur la liste établie en 1925 par Julien Perette et Gaston Adam ; elle est probablement créée en 1926. Le fonds de la société civile professionnelle Maninnetti, Villemin, Aussedat et Grandmaire, notaires à Épinal, conservé aux Archives départementales des Vosges sous la cote 238J, permet de définir, grâce aux statuts modifiés en 1939, quelle était la fonction de la coopérative : « elle a pour objet l’exploitation d’une féculerie, le dépôt des matières nécessaires à la fabrication et…
Les statuts de 1907, les procès-verbaux des assemblées générales et des conseils d’administration fournissent d’utiles indications sur le fonctionnement de cette petite société coopérative mutuelle au capital social de 40 000 francs, rassemblant essentiellement des agriculteurs de Grandrupt et des communes proches. Les actionnaires n’étaient que sept. Ils avaient pour but d’acquérir une propriété située sur le territoire de la commune de Grandrupt, au lieu-dit Au Gouty comprenant une féculerie avec les outils, ustensiles et accessoires composant le matériel servant à son roulement, bâtiments d’habitation et d’exploitation, hallier, séchoirs, canal, chute d’eau, « toutes aisances et dépendances, terrains y attenants…appartenant…
C'est dans une optique de communication et de propagande que le PCF crée en 1948 la Coopérative de production et de diffusion du film au 61 rue de Chabrol Paris 10., qui est intégrée formellement à son appareil. Grâce à elle, de nombreux films en provenance plus particulièrement des pays socialistes purent obtenir un visa d'exploitation en France. La coopérative ne se contentait pas seulement d'une distribution commerciale dans les cinémas, mais ambitionnait également une collaboration culturelle avec le milieu associatif, le milieu des professionnels du cinéma, les syndicats, les collectivités, les centres culturels, les ciné-clubs. Ces films étaient projetés…