La constitution de la société a été réalisée suivant un acte reçu par Maître Long, notaire à Grimaud, le 18 avril 1950 et enregistré à Saint-Tropez, le 21 avril suivant.
Ont été établis les statuts d'une coopérative agricole qui prend la dénomination de : "Coopérative des producteurs de marrons de la Garde-Freinet".
Sa circonscription territoriale comprend la commune de La Garde-Freinet et les quartiers limitrophes du Débat et de Cargue dépendant de la commune du Cannet-des-Maures.
Son siège social est à La Garde-Freinet et elle a pour objet d'effectuer ou de faciliter toutes les opérations concernant la conservation ou la vente des marrons…
Création en 1912. Les vignerons de Cogolin regroupent une centaine de vignerons, vinifient et commercialisent 14000HL de Côtes de Provence et de vin de Pays du Var. Le vignoble est situé sur des coteaux, les derniers contre-forts du massif des Maures qui viennent mourir sur les bords du golfe de Saint-Tropez.
La coopérative « L’Union » de Basse-sur-le-Rupt, plus connue localement sous le nom de « Kopet », est née le 25 novembre 1919 et débute son activité officiellement l’année suivante. Cette société anonyme est une société de consommation à capital variable. Son siège social, situé à Basse-sur-le-Rupt, comprenait les bureaux, les magasins de vente et de réserve. Le logement du gérant était situé au village de Planois, commune de Basse-sur-le-Rupt, dans une maison appartenant à Célestin Adam, président de 1921 à 1933, et dont la société fit l’acquisition dès sa constitution définitive.
Cette société avait pour but principal d’ouvrir à…
La société coopérative fromagère de Grignoncourt (Vosges) et de Bousseraucourt (Haute-Saône) a été créée le 1er mars 1928. Son siège social était à Grignoncourt dans une salle de la mairie. Cette société avait pour but la fabrication et la vente de tous les produits qui dérivent du lait, fourni par les membres de l’association. Les modalités d’entrée étaient strictes. La demande devait être adressée au président de l’association. Elle était ensuite instruite en conseil d’administration qui l’acceptait ou non et qui fixait un droit d’entrée. Le retrait de l’association se fait uniquement au bout de six ans sauf en cas…
La coopérative de reconstruction de Provenchères-sur-Fave a été créée à la fin de la première guerre mondiale pour la reconstruction de logements et d’infrastructures détruits pendant les conflits. La coopérative était un précieux relais pour les administrations départementales submergées par les demandes. Les dossiers de reconstruction reflètent le champ d’action de la coopérative : on y trouve à la fois des bâtiments publics (école, mairie, église.) et privés (habitation.).
Le fonds conservé ne permet malheureusement pas de définir précisément la date de création de cette coopérative : elle ne figure pas sur la liste établie en 1925 par Julien Perette et Gaston Adam ; elle est probablement créée en 1926. Le fonds de la société civile professionnelle Maninnetti, Villemin, Aussedat et Grandmaire, notaires à Épinal, conservé aux Archives départementales des Vosges sous la cote 238J, permet de définir, grâce aux statuts modifiés en 1939, quelle était la fonction de la coopérative : « elle a pour objet l’exploitation d’une féculerie, le dépôt des matières nécessaires à la fabrication et…
La Société coopérative de reconstruction de Roville-aux-Chênes a été créée en 1920. Elle a pour objet de procéder et faire procéder, pour le compte de ses adhérents, à toutes les opérations relatives à la reconstruction immobilière, notamment à la préparation des dossiers, à l’évaluation des dommages, à l’établissement des plans, devis descriptifs et marchés, à l’exécution, à la surveillance et au paiement des travaux de déblaiement, de réparation ou de reconstitution et au remploi des avances et acomptes prévus par la loi du 17 avril 1919.
La durée de la société est fixée à cinq années ; elle pourra être prolongée…
Lors de la Reconstruction, deux sociétés coopératives jumelées sont créées pour permettre la reconstruction des édifices cultuels appartenant au diocèse de Saint-Dié-des-Vosges. L'une, dédiée aux biens meubles, a son siège à Saint-Dié ; l'autre, pour le patrimoine immobilier, est située à Épinal. Les deux coopératives permettent aux municipalités de déléguer l'administration et la répartition des dommages de guerre en vertu de principes ayant déjà prévalu après la Grande Guerre. Les travaux se dérouleront entre 1945 et 1967 sauf pour les églises d’Anould et de Saulcy-sur-Meurthe, qui seront suivies directement par les municipalités responsables. La coopérative est dissoute en 1967.
Les statuts de 1907, les procès-verbaux des assemblées générales et des conseils d’administration fournissent d’utiles indications sur le fonctionnement de cette petite société coopérative mutuelle au capital social de 40 000 francs, rassemblant essentiellement des agriculteurs de Grandrupt et des communes proches. Les actionnaires n’étaient que sept. Ils avaient pour but d’acquérir une propriété située sur le territoire de la commune de Grandrupt, au lieu-dit Au Gouty comprenant une féculerie avec les outils, ustensiles et accessoires composant le matériel servant à son roulement, bâtiments d’habitation et d’exploitation, hallier, séchoirs, canal, chute d’eau, « toutes aisances et dépendances, terrains y attenants…appartenant…
Le « Val-d’Ajol agricole » est une société anonyme coopérative à capital et personnel variables, créée en mairie du Val-d’Ajol, le 24 février 1924, par treize membres fondateurs. Les statuts ont été déposés chez Me Moutillard, notaire au Val-d’Ajol, le même jour. La coopérative a connu un rapide succès : près de 900 adhérents à la veille de la Seconde Guerre mondiale.