Jules Prudhommeaux est né dans l'Aisne, mais fut élève au lycée de Nîmes. Il participe à l'action de l'Ecole de Nîmes. Professeur agrégé d'histoire, docteur en lettres, om enseigne à Sens. Il y est secrétaire et administrateur de la coopérative « l'Econome ». Enseignant à Versailles, il rejoint la Société coopérative locale.
Membre du comité de rédaction de la revue de l'Ecole de Nîmes « l'Emancipation », ainsi que secrétaire de l'Association de la Paix par le droit.
Neveu par alliance de Marie Moret (veuve Godin), il s'occupe du Familistère en sa qualité de membre du Conseil de gérance de l'association.
Il fut également Directeur du Centre européen de la fondation Carnegie après la guerre. Il signe en 1921 le Manifeste coopératif des universitaires, en tant que membre d'une Société d'études coopératives créée par Gide et Lavergne.
Son intérêt pour la coopération est fort et il est également un des membres fondateurs de « Association des amis de la coopération », en 1946, et signataire du nouveau manifeste rédigé par Bernard Lavergne en faveur d'un socialisme coopératif.